dimanche 11 janvier 2009

Chorea


Grande premiere pour moi, concert de Chorea, le nouveau choeur dont je fait partit depuis le début de l'année


faites moi signe si vous êtes intéressé, j'ai des tarifs réduit.

vendredi 9 janvier 2009

les picards, fatals à johnny!

note: la vidéo ainsi que le lien pour télécharger le morceau on mystérieusement disparu du web ( site officiel, youtube, dailymotion...) toutes mes excuses, mais j'ai quand même eu le temps de la télécharger et vous la sort de derrière les fayots! ICI

peu être que si l'intéressé nous quitte avant la sortie de l'album la chanson aura le droit de séjour dessus, en attendant la Warner, gentille maison de disques des Fatals picards dit non à la mort de Johnny:
pourtant moi je prend plutôt ça pour de la prévention, ben oui vas bien falloir qu'il éteigne le feu notre héros national (ça me rassure qu'il représente la france parceque ça explique tout, et dans ce cas c'est excusable...) il faut se préparer a l'échéance plus proche de jours en jours

aller je vous laisse vous délecter de ce qui pourrai se passer "Le jour de la mort de Johny"

samedi 22 novembre 2008

Des chansons sous les peines

Pour ceux qui ne serait pas encore au courant, Noir désir viennent de ressortir deux nouveaux morceaux, téléchargeables sur leur site internet : "Gagnants - perdants", ecrite en rapport direct avec le contexte actuel, de leur propres dires et "le temps des cerises" reprise pour son symbole: cette chanson tirée d'un poème de Jean Baptiste Clément, associée a la commune de paris mais écrite avant 1871, les cerises dans cette chansons représente le bonheur les temps heureux... tandis que le rouge de ces derniere, symbole des luttes pour la liberté, représenterai le sang des ouvriers.

voila pour la petite histoire, d'un point de vue purement esthétique, je suis content de retrouver Noir désir dans ces deux chansons.

la Jukebox en prime

Gagnants / Perdants
( Bonne nuit les petits )

Tous ces beaux jeux inventés
Pour passer devant les premiers
Pour que chacun soit écrasé
S’il refuse encore de plier
Les dégâts, les excès
Ils vont vous les faire payer
Les cendres qui resteront
C’est pas eux qui les ramasseront
Mais les esclaves et les cons
Qui n’auront pas pas su dire non
Nous on n’veut pas être des gagnants
Mais on acceptera jamais d’être des perdants
Pimprenelle et Nicolas
Vous nous endormez comme ça
Le marchand de sable est passé
Nous on garde un oeil éveillé
O la peur, ô le vide
O la victoire des avides
Faut pas bouger une oreille
Toutes sortes de chiens nous surveillent
Pas un geste, une esquisse
Sinon on tourne la vis
Nous on n’a rien à gagner
Mais on ne peut plus perdre puisque c’est déjà fait.
Toi qui viens de loin d’ici
Avec Ta peau et Tes os
On t’a parlé du paradis
On t’a menti, tout est faux
O mon ami o mon frère tout ce nerf
Perdu pour la guerre
Tu vas voir tout l’amour
Qui traîne au fond du discours
Dis t’en veux des papiers ?
Dis tu l’as vu mon palais ?
T’auras rien, c’est ainsi
C’est pas fait pour les perdants, le paradis
Il y a la chair à canon
Il y a la chair à spéculation
Il y a la chair à publicité
Enfin y’a tout ce que vous aimez
Vous et moi on le sait
Le spectacle est terminé
Pourtant c’était presque idéal
C’était loin du féodal
Oh maint’nant c’est foutu
Ça fait joli dans ton...
Fort intérieur c’est gênant
De rejoindre comme ça la cohorte des perdants
Il faut pas se faire d’illusions
Mais c’est mieux debout pour l’action
Et pour nos âmes, c’est égal
Dieu n’est pas dans la bataille
O messieurs les décideurs
De toutes parts, de tous côtés
Sachez que profond dans nos coeurs
On n’arrête pas le progrès
Sous l’Iris, sous la peau
Sous les ongles et dans l’étau
On pourra toujours refuser
De devenir les premiers ou les derniers
Pas de leaders triomphants
On s’ra jamais des gagnants ni des perdants


Le temps des cerises

Quand nous chanterons le temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au coeur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l’on s’en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d’oreilles
Cerises d’amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu’on cueille en rêvant
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d’amour
Evitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des peines d’amour
J’aimerai toujours le temps des cerises
C’est de ce temps-là que je garde
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m’étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J’aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au coeur



vendredi 26 septembre 2008

gourc'hemennoù diwar Breizh

hey!
bon comme vous avez sans doute pu le remarquer, je n'ai pas continué de faire le récit de mes tribulations brésiliennes, sans doute suite à un grosse fleime suivie d'un manque de temps, oui car j'ai repris les cours, et en Bretagne qui plus est!!
donc je ne finirai pas mon roman photos mais pour ne pas vous laisser en suspent je vous met une derniere vidéos prise pendant un concert a garanhuns.




deux extraits, une chansons en latin/wolof, le requiem noir et une chanson en Zulu, batsheleni.

jeudi 14 août 2008

Brésil, jour 3

départ pour Garanhuns, rendez vous devant l'hotel de soli tuti a 9h30 précises, les taxi pour nous y emmener attendent devant l'auberge, c'est vraiment pas cher les taxi las-bas et on peu se tasser dedans donc c'est asser rentable.
après 250 bornes et 4 heures de bus sur des routes plus ou moins praticables nous voici arriver a Garanhuns, petite ville perdue au milieu de rien qui l'année doit être morte comme un tombe mais nous y allons pour un festival d'hiver donc la ville est pleine de vie, des gens partout ( des flics armés jusqu'au dents partout aussi ).














nous sommes sensés être logés dans une maison loué pour l'occasion rien que pour nous, plutôt encourageant a premiere vue, sauf que la maison a laquelle on nous emmène n'est pas celle prévue a priori et ( d'après ce que j'ai compris ) c'est un conflit d'interêt entre deux soeu ennemies qui voulaient toutes les deux louer leur maison personnelle, mais bon du coup on est tassés a 15 dans une maison de 2 chambres moi ça me convient mais tout le monde n'est pas non plus du mème avis, bref on s'installe malgré tout et sans trop tarder puisqu'on nous attend pour notre premier concert brésilien a la cathédrale, concert en commun avec solli tutti.


exelent concert, le public brésilien etait très nombreux ( environ 800 personne ) et très motivé, c'est rigolo d'ailleurs quand notre chef leur a ditr bonjour ( bom dia ) ils ont tous répondu d'une seule voix, jamais j'ai vu ça en france, et ils applaudissaient comme des dingues donc bien quoi!
après le concert on vas manger dans un resto ou tu paye au kilo ce que tu mange, c'est rigolo, et on prend pas mal de caipirinha, cocktail a base de cachaça ( alcool local )
après ça avec quelques uns on vas voir un concert sur la grande scène, je demande au premier mec venu qui est le type qui chante il me répond et me lache plus quand il comprend que je suis français, Zidane, coupe du monde 98...
et le mec sur scene etait luiz mélodia




bref après ça il est temps d'aller se coucher ( dans notre petite maison )

Brésil, jour 2

le second jour sera consacré a la visite de Récife ( je n'y reste que 2 jours donc il faut faire vite ) le matin je serai bien retourné a Olinda mais ce sera finalement répétition sauvage dans le jardin de l'auberge ( après un petit déjeuné super avec des fruits des jus de fruits et plein d'autres trucs )




























après ça direction le vieux récife et les quartiers de são antonio, recife antico... très bonne journée a se perdre dans les méandres des rues et des marchés, on se frotte egalement pour la premiere fois a la population brésilienne, je prend toutes les précautions du monde pour prendre des photos ce qui fait que je retrouve ma main ou une partie de ma main sur beaucoup d'entres elles...




























le soir nous nous rendons au teatro santa isabel pour assiter au concert de soli tutti ( oui on chante pas ce soir mais on est invités quand mème.) on débarque au théatre apres une journée de visite en short, tongs, on se sent un peu déphasés face aux costards et au théatre super classe dans lequel on rentre, limite honte quand même pour le coup, enfin bref, bon concert quand mème .



je fini la soirée a l'auberge en tapant la discute a un brésilien venu rendre visite a ses potes et qui parle très bien français vu qu'il est prof de portuguais a Nantes, il revient direct du festival de Garanhuns, là ou on se rend le lendemain...





Brésil, jour 1

Bon il était temps que je m'y mette, le voici donc en exclusivité pour vous, le récit de mon voyage au Brésil:

Départ imminent de Paris charles de gaulle vol Tam JJ8055 pour Rio, 12heures d'avion et poirotage 4 heures a Rio à 4h30 du matin, je cherche en vain la folle ambiance des cariocas mais a cette heure là a Rio il ne se passe pas grand chose, surtout dans un aéroport, je risque 3 pas dehors ( pas vraiment le temps de faire plus mon prochain avion est dans 3 heures ) et je tombe sur une horde de taxis près a vendre pères et mères pour me faire monter dans le leurs.
tant pis, je vais retirer mes premiers reals, c'est un tout petit peu moins jouissif mais on fait avec ce qu'on a...
aéroport de rio

mon avion pour Recife n'est toujours pas affiché 5min apres l'heure prévue mais on m'a dit qu'il ne fallai pas trop s'inquieter... j'm'inquiete pas mais quand même un peu, je partirai de rio avec finalement 3/4 d'heure de retard, mais je vais me rendre compte plus tard que c'est plutot habituel dans ce pays!
dans l'avion , collé au hublot j'essaye déséspérement d'apercevoir des bribes de vue magnifique vantée par tout les guides touristiques mais je doit être du mauvais coté et il y a du brouillard en plus donc ce n'est pas la peine.


arrivée a Récife sous une grosse averse, j'ai un peu l'impression d'être dans une serre tout d'un coup, il fait très chaud et très humide, avec la fatigue et la tête dans le *** la seule chose dont je rêve sur le moment c'est d'une bonne douche.
après quelques difficulté ( 3/4 d'heure de recherche active et de demande de renseignement a des brésiliens qui ne calent pas un mot d'anglais ) j'arrive a trouver un bus qui m'emmenera ( peu être ) près de l'auberge de jeunesse ou j'ai rendez vous avec le reste du petit choeur, arrivé la bas je ne trouve personne, je ne suis pas le premier arrivé mais ceux qui sont déja là depuis 2 jours sont partit chercher les autres a l'aéroport, qu'a cela ne tienne, j'vais me promener,













passage a la plage, trempette et grosse averse, bref une heure plus tard je retrouve tout le monde ( trempés ) a l'auberge le temps que tout le monde se prépare et c'est partit pour Olinda ou nous avons rendez vous avec solli tutti dans un resto tenu par un français ( faut pas trop de dépaysement d'un seul coup non plus ) on arrive un peu en avance donc on vas se promener un peu, malheureusement il fait nuit ( et oui a 17h30 a nuit tombe ici ) et je ne verrai donc pas cette magnifique ville de jour.
resto.


apres le resto on retourne a récife et avec les plus vaillant qui supportent le mieux le décalage horaire ( c'est facile dans ce sens là ) on vas se prendre un verre dans un bar plus loin sur la plage, ça fait bizzare de voir des gardiens au pied de chaque immeuble un peu chicos et des barbelés/fils éléctrifiés partout .
bref on rentre dormir vers...tard.